
BIENTOT LA FIN DE L’HEGEMONIE OCCIDENTALE EN AFRIQUE.
Accusés d’avoir fait financer sa campagne présidentielle de 2007 par Mouhamar khadafi, Nicolas Sarkozy veut faire annuler sa mise en examen sur l’affaire du financement du guide libyen. Nul doute, Sarkozy ne compte pas laisser la justice faire son œuvre sans réagir. L’ancien chef de l’état mise en effet sur un vice de forme pour faire annuler sa mise en examen. Ainsi donc, Sarkozy a fait déposer par son avocat Thierry Herzog un recours en ce sens la semaine dernière, devant la cour d’appel de paris. Il assure que la procédure est entachée de nullité et évoque alors sept motifs supposés d’annulation. Et l’une des requêtes est relative au fait que les investigations menées concernent la période 2005-2007 quand Sarkozy était alors ministre de l’intérieur. Sur ce point son avocat estime que ce n’est pas la justice ordinaire qui est competente, mais plutôt la cour de justice de la république, dont le rôle est de juger les membres du gouvernement dans l’exercice de leurs fonctions. Plus loin, son avocat assure que la constitution française interdit à de tes rares exceptions toutes poursuites contre le président. Une interdiction qui se limite toute fois aux actes du président accomplis en cette qualité selon l’article 67 de la constitution. Un recours sujet a moult questionnement : jusqu’ou la justice française peut elle aller dans cette affaire ? Que cherche véritablement Nicolas Sarkozy ? Des questions qui sont autant posées dans l’affaire Bolloré au Cameroun, notamment sur le cas de l’accident ferroviaire d’Eseka. De source concordantes, vincent Bolloré est celui la même qui aurait négocié le marché de l’achat de nouveaux wagons camrail et il y aurait une surfacturation qui s’élève a 14 milliards de FCFA demandé par le fournisseur de ces wagons de qualité très douteuse. Constat qui suscite le refus du président des passations des marchés publics a réceptionné les locomotives. Chose qui permet a une certaine opinion de penser que l’Etat du Cameroun ne devrait pas payer la somme demandé par Bolloré. Que tous les contrats signés avec le milliardaire breton devraient être résiliés et que tous ses avoirs devraient être bloqués.